Le matin trouva Lauriana recroquevillée près des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la chaleur ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa mollement, chassant de ses paupières la tracas nocturne et caressa d’un geste protecteur la couverture du présente ancien qu’elle avait glissé marqué par sa physionomie pour la nuit. https://andersonkubio.snack-blog.com/33030976/lauriana-voyance