Dans l’atelier de reliure, la éclairage tremblante des chandelles faisait danser des ombrages sur les murs de pierre. L’odeur du cuir tanné et de l’encre fraîche flottait dans l’air, imprégnant chaque recoin du seul usine romain où le relieur travaillait journalierement avec une rigueur presque sacrée. Il n’avait jamais refusé https://louistkuen.therainblog.com/32746312/la-assemblage-des-âmes-dispersées