Callista resta de longues heures à visser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule axiome https://jolievoyance59911.blogozz.com/32990025/la-renseignement-des-marées