En 2200, Reykjavik n’était plus la commune qu’elle avait persisté. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches fusionnant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces immémoriaux abris transformés que vivait un voyant simple, vécu simplement sous un dénomination : Elvar. https://jeffreyqfqyg.bloguerosa.com/33134222/le-limite-du-silence