Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une souffle lente, une coutume parvenue d’un fait traditionnel répété toujours. https://voyancegratuiteenligneimm28517.wikipublicist.com/5188630/les_contours_calmés